Curses
Romantic Fiction |
Label :
Dischi Autunno |
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DJ Producteur américain exilé dorénavant à Berlin, Luca Venezia s'offre un nouvelle casquette sous le pseudo de Curses et convoque les vieux démons Cold Wave par ce premier essai Romantic Fiction.
Et l'on peut affirmer dès le premier titre "Surrender" que les corbeaux sont de retour avec cette voix d'outre tombe et une mélodie que n'auraient pas renié les Clan of Xymox.
Le mélange Punk Electro Gothique que propose Curses n'a effectivement rien de bien original pour les oreilles aguerris d'un amateur de Fad Gadget ou d'autres groupes similaires. Voix sépulcrale, sonorités synthétiques et rythmes EBM, il n'y a aucun doute possible sur les intentions de Venezia et sa pochette minimaliste d'un Ian Curtis masqué en rajoute encore.
Alors qu'est-ce qui peut bien distinguer cet album d'un autre ? Déjà il faut bien reconnaitre que les mélodies sont aguicheuses. D'une structure assez simple, l'ensemble est accessible et interpelle l'amateur de sonorités Dark.
Luca Venezia convoque tour à tour la techno berlinoise (Gold & Silber chanté par la chanteuse Perel dans la langue de Goethe), revisite la batterie de Stephen Morris dans Silence in the Dark ou convoque le Giorgio Moroder de Midnight Express dans Medusa Veil.
Le titre vaporeux Crucify deviendrait presque l'étendard mélancolique de ces années 80 qui n'auront jamais été aussi proches, les arrangements actuels en sus.
Curses ne réinvente rien mais le fait bien et même très bien. Notez également un mystérieux titre caché en fin de face B du vinyle au titre évocateur : Resurrection.
Romantic Fiction s'impose sans révolutions comme l'album somme d'une époque.
Et l'on peut affirmer dès le premier titre "Surrender" que les corbeaux sont de retour avec cette voix d'outre tombe et une mélodie que n'auraient pas renié les Clan of Xymox.
Le mélange Punk Electro Gothique que propose Curses n'a effectivement rien de bien original pour les oreilles aguerris d'un amateur de Fad Gadget ou d'autres groupes similaires. Voix sépulcrale, sonorités synthétiques et rythmes EBM, il n'y a aucun doute possible sur les intentions de Venezia et sa pochette minimaliste d'un Ian Curtis masqué en rajoute encore.
Alors qu'est-ce qui peut bien distinguer cet album d'un autre ? Déjà il faut bien reconnaitre que les mélodies sont aguicheuses. D'une structure assez simple, l'ensemble est accessible et interpelle l'amateur de sonorités Dark.
Luca Venezia convoque tour à tour la techno berlinoise (Gold & Silber chanté par la chanteuse Perel dans la langue de Goethe), revisite la batterie de Stephen Morris dans Silence in the Dark ou convoque le Giorgio Moroder de Midnight Express dans Medusa Veil.
Le titre vaporeux Crucify deviendrait presque l'étendard mélancolique de ces années 80 qui n'auront jamais été aussi proches, les arrangements actuels en sus.
Curses ne réinvente rien mais le fait bien et même très bien. Notez également un mystérieux titre caché en fin de face B du vinyle au titre évocateur : Resurrection.
Romantic Fiction s'impose sans révolutions comme l'album somme d'une époque.
Excellent ! 18/20 | par Jetjet |
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