Dengue Dengue Dengue
La Alianza Profana |
Label :
Auxiliar |
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[Chronique en aveugle #17] Le rédacteur ne savait rien de l'identité de l'artiste dont il a chroniqué le présent album
Allez c'est parti pour ma première chronique à l'aveugle !
Je lance l'album et dès les premiers instants, je comprend que son écoute m'emmènera loin des terres habituelles du rock indé. Et tant mieux! C'est d'ailleurs une des raisons qui m'ont poussé à me lancer dans cette aventure.
Je découvre donc des sonorités électroniques, des percussions latino et un chant qui déclame des paroles dans une langue inconnue. Puis arrivent plus tard une grosse basse synthétique et des notes orientalisantes. Ce premier morceau installe une ambiance moite et hypnotique qui se confirmera tout au long de l'album. Le ou les producteurs de cet album semblent avoir voulu épicer chacun des styles de musiques électroniques de sonorités latino. On entend de la house, du dub, du chiptune, de l'UK Bass, du dubstep contrariées par toute une multitude de percussions et autres trompettes.
L'apothéose arrivera avec le dernier morceau, le plus lourd, le plus dansant et le plus réussi qui nous emmène dans une free party au beau milieu de la forêt amazonienne. Je suis ignorant en matière de musiques d'Amérique du Sud mais il me semble que ça se rapproche parfois de la cumbia, mais qui serait ici revue et corrigée par des programmations digitales.
Par cette volonté de faire un trait d'union entre les musiques de deux continents, cette musique me rappelle celle de Drame, le récent side-project du tourangeau Rubin Steiner, qui emprunte un tunnel secret entre La Havane et Cologne, à moins que ce ne soit entre Manchester et Rio.
Le voyage en compagnie du ou des chaman auteurs de cette musique est de bout en bout à la fois passionnant et éprouvant.
Cependant, je regrette qu'au fil des écoutes, les effets du peyotl s'estompent. Une fois l'effet de surprise passé, j'ai trouvé que cette musique manquait de chair. Les morceaux d'ouverture et de fermeture mis à part, il m'est difficile de retenir un morceau. Peut-être que l'apport d'un véritable chant et un plus grande présence d'instruments organiques feraient de cet album une véritable réussite.
En bref, j'ai passé un très bon voyage mais il n'est pas acquis que je réemprunte ces routes prochainement.
Allez c'est parti pour ma première chronique à l'aveugle !
Je lance l'album et dès les premiers instants, je comprend que son écoute m'emmènera loin des terres habituelles du rock indé. Et tant mieux! C'est d'ailleurs une des raisons qui m'ont poussé à me lancer dans cette aventure.
Je découvre donc des sonorités électroniques, des percussions latino et un chant qui déclame des paroles dans une langue inconnue. Puis arrivent plus tard une grosse basse synthétique et des notes orientalisantes. Ce premier morceau installe une ambiance moite et hypnotique qui se confirmera tout au long de l'album. Le ou les producteurs de cet album semblent avoir voulu épicer chacun des styles de musiques électroniques de sonorités latino. On entend de la house, du dub, du chiptune, de l'UK Bass, du dubstep contrariées par toute une multitude de percussions et autres trompettes.
L'apothéose arrivera avec le dernier morceau, le plus lourd, le plus dansant et le plus réussi qui nous emmène dans une free party au beau milieu de la forêt amazonienne. Je suis ignorant en matière de musiques d'Amérique du Sud mais il me semble que ça se rapproche parfois de la cumbia, mais qui serait ici revue et corrigée par des programmations digitales.
Par cette volonté de faire un trait d'union entre les musiques de deux continents, cette musique me rappelle celle de Drame, le récent side-project du tourangeau Rubin Steiner, qui emprunte un tunnel secret entre La Havane et Cologne, à moins que ce ne soit entre Manchester et Rio.
Le voyage en compagnie du ou des chaman auteurs de cette musique est de bout en bout à la fois passionnant et éprouvant.
Cependant, je regrette qu'au fil des écoutes, les effets du peyotl s'estompent. Une fois l'effet de surprise passé, j'ai trouvé que cette musique manquait de chair. Les morceaux d'ouverture et de fermeture mis à part, il m'est difficile de retenir un morceau. Peut-être que l'apport d'un véritable chant et un plus grande présence d'instruments organiques feraient de cet album une véritable réussite.
En bref, j'ai passé un très bon voyage mais il n'est pas acquis que je réemprunte ces routes prochainement.
Sympa 14/20 | par Thebluegoose |
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