Patience
The Church |
Label :
Night School |
||||
Ce 7", avant même de l'avoir écouté, sent bon les années 80.
Une jolie brune avec son jean & son cuir élimé, accoudée sur la jetée, regardant les vagues (à l'âme). En attendant que l'amour vienne frapper à sa porte, elle bosse comme serveuse dans une cafétéria genre Peach Pit... Je pourrais divaguer longtemps sur cette simple photo de Roxanne, mais la vérité est toute autre.
S'accordant une petite récréation loin de son groupe Veronica Falls, la chanteuse expose au grand jour son amour de la pop 80's, celle qui fait rimer synthétiseur et boite à rythme, pads et mélodies sucrées.
L'espace de deux titres, elle nous convie dans une sorte de mélancolie pop, une petite ballade romantique sur laquelle sa voix fait merveille, entourée d'accords analogiques et de pads martelés. L'humeur est presque adolescente, l'amour naissant, "The Church" est un vrai petit tube de 84, avec l'un de ses fameux breaks parfaitement représentatifs de l'époque.
"My Own Invention" se veut plus personnel, beaucoup moins tubesque que la première face, les synthés prennent le pas sur le chant, la mélodie est presque absente, ce qui rend le tout presque plus intéressant. Roxanne double sa voix, la triple même par les échos, une douce comptine est égrenée au clavier, elle ne dure même pas trois minutes, mais en durerait huit que ce serait aussi bon.
Pour un premier essai en solo, Roxanne Clifford s'engage avec les honneurs dans le sentier, certes balisé, de la synthpop. On attend de pied ferme l'album, en espérant un résultat tout aussi savoureux que ce court petit disque. Patience...
Une jolie brune avec son jean & son cuir élimé, accoudée sur la jetée, regardant les vagues (à l'âme). En attendant que l'amour vienne frapper à sa porte, elle bosse comme serveuse dans une cafétéria genre Peach Pit... Je pourrais divaguer longtemps sur cette simple photo de Roxanne, mais la vérité est toute autre.
S'accordant une petite récréation loin de son groupe Veronica Falls, la chanteuse expose au grand jour son amour de la pop 80's, celle qui fait rimer synthétiseur et boite à rythme, pads et mélodies sucrées.
L'espace de deux titres, elle nous convie dans une sorte de mélancolie pop, une petite ballade romantique sur laquelle sa voix fait merveille, entourée d'accords analogiques et de pads martelés. L'humeur est presque adolescente, l'amour naissant, "The Church" est un vrai petit tube de 84, avec l'un de ses fameux breaks parfaitement représentatifs de l'époque.
"My Own Invention" se veut plus personnel, beaucoup moins tubesque que la première face, les synthés prennent le pas sur le chant, la mélodie est presque absente, ce qui rend le tout presque plus intéressant. Roxanne double sa voix, la triple même par les échos, une douce comptine est égrenée au clavier, elle ne dure même pas trois minutes, mais en durerait huit que ce serait aussi bon.
Pour un premier essai en solo, Roxanne Clifford s'engage avec les honneurs dans le sentier, certes balisé, de la synthpop. On attend de pied ferme l'album, en espérant un résultat tout aussi savoureux que ce court petit disque. Patience...
Très bon 16/20 | par X_Lok |
En ligne
412 invités et 0 membre
Au hasard Balthazar
Sondages