Micro:mega
Paris [Le Batofar] - mardi 12 avril 2005 |
Après avoir assisté au 'Roman Anglais' de Sylvain et Felicia, me voici en route pour le Batofar armé d'un baton de saucisson dans le métro pour seul diner... Arrivé sur les quais, je prends le temps de regarder la Seine et ses reflets (Paris, c'est beau la nuit...). Puis, j'entre dans le Batofar, petite péniche bien sympa. Le temps de prendre un Martini dans l'ambiance dub pépère du Batofar... Ca devrait être cool...
Micro:mega est sur scène avec Webcam Hifi qui se chargera de diffuser des images dans le dos des musiciens. Ces images sont assez 'débiles' (comprenez par là qu'elles sont énormes car c'est un jeune Canadien qui a tenu ce propos avec un enthousiasme grand comme une maison): assez répétitives,on y retrouve des arbres, une éolienne, des vues de villes la nuit, une rangée de réverbères dans une rue nocturne... Elles ont beau être répétitives, elles sont en mouvement, soit par les effets (jeux d'éclairs, petits points de toutes les couleurs, etc...) les traversant, soit parce que la caméra bouge (sur une série d'images d'arbres, on a l'impression qu'elles sont filmées depuis un train...), en tout cas, c'est magnifique (un petit Mogwai de l'image !) et illustre la dynamique électro-dub insufflée par Fred Luneau associée aux mélodies d'un Sylvain qui navigue de son clavier à sa guitare en passant par un instrument à vent chelou (il soufflait dans un clavier de piano... bel objet...) pour distiller de tendres mélodies. Ca fait longtemps que je suis assis en tailleur figé devant les images et scotché par la puissance de ces rythmes éclairés par les mélodies de Sylvain. Deux voyages dans la même soirée... En fin de parcours, Sylvain nous gratifie d'un morceau chanté: 'Rock'n roll can never die', chante-t-il à un moment... La preuve...
Puis, un sample arrive: 'Un grand moment de solitude...', un bord de mer fait une apparition subite à l'écran et le silence se fait... Enorme !
Micro:mega est sur scène avec Webcam Hifi qui se chargera de diffuser des images dans le dos des musiciens. Ces images sont assez 'débiles' (comprenez par là qu'elles sont énormes car c'est un jeune Canadien qui a tenu ce propos avec un enthousiasme grand comme une maison): assez répétitives,on y retrouve des arbres, une éolienne, des vues de villes la nuit, une rangée de réverbères dans une rue nocturne... Elles ont beau être répétitives, elles sont en mouvement, soit par les effets (jeux d'éclairs, petits points de toutes les couleurs, etc...) les traversant, soit parce que la caméra bouge (sur une série d'images d'arbres, on a l'impression qu'elles sont filmées depuis un train...), en tout cas, c'est magnifique (un petit Mogwai de l'image !) et illustre la dynamique électro-dub insufflée par Fred Luneau associée aux mélodies d'un Sylvain qui navigue de son clavier à sa guitare en passant par un instrument à vent chelou (il soufflait dans un clavier de piano... bel objet...) pour distiller de tendres mélodies. Ca fait longtemps que je suis assis en tailleur figé devant les images et scotché par la puissance de ces rythmes éclairés par les mélodies de Sylvain. Deux voyages dans la même soirée... En fin de parcours, Sylvain nous gratifie d'un morceau chanté: 'Rock'n roll can never die', chante-t-il à un moment... La preuve...
Puis, un sample arrive: 'Un grand moment de solitude...', un bord de mer fait une apparition subite à l'écran et le silence se fait... Enorme !
Excellent ! 18/20 | par Takichan |
En ligne
217 invités et 0 membre
Au hasard Balthazar
Sondages