Jeniferever
Budapest - Hongrie [Tüzraktér] - dimanche 08 novembre 2009 |
Quelle arnaque ! Bouh, que c'est mauvais... Jenifever en concert. Mais qu'est-ce que j'ai été faire là-bas ? Qu'est-ce qui m'est passé par la tête ce soir là ? Ah si quelque chose comme : "En CD c'est pas très orignal ni génial mais sur scène peut-être que les mecs réussissent à imposer quelque chose..." Ben en fait... non !
Jeniferever (rien que le nom, faut pas déconner... Ca aurait dû me faire fuir) pour faire simple, c'est un groupe qui s'illustre dans un genre usé jusqu'à la corde et qui n'a plus de jus (ou du jus bien aigre....) : du post-rock inspiré directement de groupes tels Explosions In The Sky ou Caspian par exemple; mais chanté.
Sur disque, c'est pas que c'est particulièrement vilain : sitôt écouté, sitôt oublié. Tout ça pour dire que j'y allais avec les meilleures intentions du monde : faire une vraie découverte... Mais voilà sur scène, évidemment on doit affronter le Visuel, avec un V majuscule s'il vous plait. Devant le rideau noir (ou marron) incrémenté d'une multitude d'ampoules dispersées au hasard, (tableau hideux sensé représenté la pochette du dernier album en date) se tiennent nos 4 ou 5 (ma mémoire flanche) poseurs. Car c'est bien de ça qu'il s'agit : Jeniferever est en fait un groupe de midinette : un chanteur au look androgyne qui finira en beau marcel blanc du plus bel effet et un guitariste maquillé au mascara et soucieux que sa mêche retombe bien du côté gauche et non pas du côté droit (à moins que ce ne soit l'inverse), moi, j'y peux rien, ça me rebute.
Et tout ça ne suffit malheureusement pas à cacher la platitude (est-ce un néologisme ?) de leurs compositions. Rien ne se passe tout simplement; y'a une multitude de groupes qui font la même chose en beaucoup mieux (même si j'en fais un peu une overdose...), et qui n'ont pas besoin de cette attitude de poseurs comme je le disais.
Bref, j'aurais tenu 40 voire même 45 minutes avant de m'éclipser. Parce que s'il on a l'habitude de dire que toutes les bonnes choses ont une fin malhreureusment, les mauvais également, fort heureusement. En tout cas on ne m'y reprendra plus. Promis !
Jeniferever (rien que le nom, faut pas déconner... Ca aurait dû me faire fuir) pour faire simple, c'est un groupe qui s'illustre dans un genre usé jusqu'à la corde et qui n'a plus de jus (ou du jus bien aigre....) : du post-rock inspiré directement de groupes tels Explosions In The Sky ou Caspian par exemple; mais chanté.
Sur disque, c'est pas que c'est particulièrement vilain : sitôt écouté, sitôt oublié. Tout ça pour dire que j'y allais avec les meilleures intentions du monde : faire une vraie découverte... Mais voilà sur scène, évidemment on doit affronter le Visuel, avec un V majuscule s'il vous plait. Devant le rideau noir (ou marron) incrémenté d'une multitude d'ampoules dispersées au hasard, (tableau hideux sensé représenté la pochette du dernier album en date) se tiennent nos 4 ou 5 (ma mémoire flanche) poseurs. Car c'est bien de ça qu'il s'agit : Jeniferever est en fait un groupe de midinette : un chanteur au look androgyne qui finira en beau marcel blanc du plus bel effet et un guitariste maquillé au mascara et soucieux que sa mêche retombe bien du côté gauche et non pas du côté droit (à moins que ce ne soit l'inverse), moi, j'y peux rien, ça me rebute.
Et tout ça ne suffit malheureusement pas à cacher la platitude (est-ce un néologisme ?) de leurs compositions. Rien ne se passe tout simplement; y'a une multitude de groupes qui font la même chose en beaucoup mieux (même si j'en fais un peu une overdose...), et qui n'ont pas besoin de cette attitude de poseurs comme je le disais.
Bref, j'aurais tenu 40 voire même 45 minutes avant de m'éclipser. Parce que s'il on a l'habitude de dire que toutes les bonnes choses ont une fin malhreureusment, les mauvais également, fort heureusement. En tout cas on ne m'y reprendra plus. Promis !
Très mauvais 4/20 | par X_Jpbowersock |
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