The Do
Rouen [Club 106] - vendredi 07 novembre 2008 |
Vendredi soir, le Club 106 acceuillait Katrine Ottosen et Tahiti 80.
Ces deux artistes faisaient la première partie de The Do.
Après deux heures de pop avec la magnifique voix de K.O et le charme de T80, c'est enfin au tour de The Do. La salle est pleine (le concert affichant complet). Le public est positif et concentré mais ne bouge pas suffisamment.
Les techniciens du groupe installent la scène pendant près de 20 minutes. Mégaphone, Scie musicale, Batterie/cuisine... L'attente est horrible... Mais vaut de coup. Le batteur, JOsé JOyette s'installe, la lumière s'éteint, The Do entre en scène.
Courte robe violette et maquillage turquoise, chapeau d'identité et air charmant. Le show commence avec "Playground Hustle" "We are, not crazy...". La flûte de Dan fait son effet.
Ca commence très bien. Les chansons s'enchaînent, toujours beaucoup plus rock que dans l'album.
La salle s'agite, on applaudit. La version longue de "The Bridge Is Broken"
"It was the story of a bridge Misters and Misses..." est excellente. Elle mélange des bouts du morceau et de "Queen Dot Kong". Elle dure, dure, dure... et tant mieux. L'harmonie entre les deux est effarante. Surtout quand Dan complète le texte hip hop "I'm gonna have the shapest flow And you're gonna tremble and go home..." dans le micro que lui tend Olivia. Puis vient "Bohemians Dances", morceau hors de l'album qui y aurait bien sa place car respactant le critère de l'originalité. Son intro est longue et surprenante. Les percussions sont énormément sollicitées pour cette partie tribale. Un autre de leurs nouveaux morceaux est joué "How Could I ?". Morceau très agréable et très rock .
Pendant l'un des morceaux, les lumières clignotent, les deux génies se laissent emporter, la musique sonne "apocalypse" et un homme en cape noire grimpe sur scène et évolue dans le décor. Très belle mise en scène.
Pendant un autre, Dan est à l'avant de la scène et Olivia est au clavier un petit moment. Pendant un autre encore, ils se déchaînent devant nous et il avance à genoux comme à bout de force, le temps de prêter sa basse au public du premier rang. "Bon on va faire une petite pause", dit Olivia en souriant. Ensuite, La version lente jouée uniquement deux fois auparavant, de "Travel Light" apparait. Le public est scotché, impressionné, séduit.
Puis, "Aha" morceau au rythme rapide dans l'album montre encore le travail fait par le groupe à chaque concert. Là, le rythme est lent au début. D'ailleurs, l'un des techniciens en profite pour glisser un petit "Oh Yeah..." dans le mégaphone. Cela fait sourire non seulement le public, mais surtout le duo dont Olivia qui rit naturellement comme une enfant. En ce qui concerne la chanson, son rythme s'accélère et ce crescendo va de pair avec l'ambiance.
Après 1h20 de concert, un "On My Shoulders" (classique) qui fait toujours
plaisir aux nouveaux partisans, "Stay (Just A Little Bit More)" arrive à point.
Les deux se rapprochent, D siffle l'air, tape sur xylophone et avance légèrement sur scène. C'est la fin du concert, la pression redescend, on en veut encore, et comme le dirait un chroniqueur pour conclure, on aimerait bien qu'ils STAY JUST A LITTLE BIT MORE.
The Do c'est électrisant, c'est agréable, c'est à voir au plus vite, et si possible, dans des petites salles comme celles-ci.
Ces deux artistes faisaient la première partie de The Do.
Après deux heures de pop avec la magnifique voix de K.O et le charme de T80, c'est enfin au tour de The Do. La salle est pleine (le concert affichant complet). Le public est positif et concentré mais ne bouge pas suffisamment.
Les techniciens du groupe installent la scène pendant près de 20 minutes. Mégaphone, Scie musicale, Batterie/cuisine... L'attente est horrible... Mais vaut de coup. Le batteur, JOsé JOyette s'installe, la lumière s'éteint, The Do entre en scène.
Courte robe violette et maquillage turquoise, chapeau d'identité et air charmant. Le show commence avec "Playground Hustle" "We are, not crazy...". La flûte de Dan fait son effet.
Ca commence très bien. Les chansons s'enchaînent, toujours beaucoup plus rock que dans l'album.
La salle s'agite, on applaudit. La version longue de "The Bridge Is Broken"
"It was the story of a bridge Misters and Misses..." est excellente. Elle mélange des bouts du morceau et de "Queen Dot Kong". Elle dure, dure, dure... et tant mieux. L'harmonie entre les deux est effarante. Surtout quand Dan complète le texte hip hop "I'm gonna have the shapest flow And you're gonna tremble and go home..." dans le micro que lui tend Olivia. Puis vient "Bohemians Dances", morceau hors de l'album qui y aurait bien sa place car respactant le critère de l'originalité. Son intro est longue et surprenante. Les percussions sont énormément sollicitées pour cette partie tribale. Un autre de leurs nouveaux morceaux est joué "How Could I ?". Morceau très agréable et très rock .
Pendant l'un des morceaux, les lumières clignotent, les deux génies se laissent emporter, la musique sonne "apocalypse" et un homme en cape noire grimpe sur scène et évolue dans le décor. Très belle mise en scène.
Pendant un autre, Dan est à l'avant de la scène et Olivia est au clavier un petit moment. Pendant un autre encore, ils se déchaînent devant nous et il avance à genoux comme à bout de force, le temps de prêter sa basse au public du premier rang. "Bon on va faire une petite pause", dit Olivia en souriant. Ensuite, La version lente jouée uniquement deux fois auparavant, de "Travel Light" apparait. Le public est scotché, impressionné, séduit.
Puis, "Aha" morceau au rythme rapide dans l'album montre encore le travail fait par le groupe à chaque concert. Là, le rythme est lent au début. D'ailleurs, l'un des techniciens en profite pour glisser un petit "Oh Yeah..." dans le mégaphone. Cela fait sourire non seulement le public, mais surtout le duo dont Olivia qui rit naturellement comme une enfant. En ce qui concerne la chanson, son rythme s'accélère et ce crescendo va de pair avec l'ambiance.
Après 1h20 de concert, un "On My Shoulders" (classique) qui fait toujours
plaisir aux nouveaux partisans, "Stay (Just A Little Bit More)" arrive à point.
Les deux se rapprochent, D siffle l'air, tape sur xylophone et avance légèrement sur scène. C'est la fin du concert, la pression redescend, on en veut encore, et comme le dirait un chroniqueur pour conclure, on aimerait bien qu'ils STAY JUST A LITTLE BIT MORE.
The Do c'est électrisant, c'est agréable, c'est à voir au plus vite, et si possible, dans des petites salles comme celles-ci.
Exceptionnel ! ! 19/20 | par The-do14 |
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