Encre
Nantes [Tour Du Lieu Unique] - jeudi 18 janvier 2007 |
Ce jeudi 18 janvier, le Lieu Unique proposait une expérience assez surréaliste pour la modique somme de deux euros: une concert acoustique d'une demi-heure dans le bulbe de la tour LU.
C'est donc en présence d'une petite trentaine de personnes que sur les coups de 19h, je montai le long escalier qui menait tout en haut, pour voir le jeune Yann Tambour, verre de whiskey à la main, en train d'accorder sa belle kora.
Encre dans un endroit aussi pittoresque ne pouvait être que grandiose, c'était du moins ce que je me figurais. J'étais loin du ravissement qu'il allait nous offrir.
Une atmosphère s'est tout de suite déposée aux premiers accords de kora, et puis sa voix, cette voix si suave, se rapprochant parfois des sonorités de Banhart, Herman Düne ou mieux encore, de Neil Young (et tout ça très juste... si, si !).
Aucun morceau de ses précédents albums, pas à ce que je sache en tout cas; mais cette session se voulait plus ou moins expérimentale ou improvisée, comme c'était stipulé sur la brochure. Nous aurons tout le même droit à une reprise de Marc Bolan période Tyrannosaurus Rex fort plaisante.
Sinon, c'était un cocon folk qui enveloppait les tympans, des arpèges mélancoliques et fragiles, tout simplement beau.
Un moment rare et profondément mélodique qui me confirma les ressentis éprouvés à l'écoute de Flux: Yann Encre fait partie des musiciens français qui font vibrer la musique et la font avancer de nos jours.
C'est donc en présence d'une petite trentaine de personnes que sur les coups de 19h, je montai le long escalier qui menait tout en haut, pour voir le jeune Yann Tambour, verre de whiskey à la main, en train d'accorder sa belle kora.
Encre dans un endroit aussi pittoresque ne pouvait être que grandiose, c'était du moins ce que je me figurais. J'étais loin du ravissement qu'il allait nous offrir.
Une atmosphère s'est tout de suite déposée aux premiers accords de kora, et puis sa voix, cette voix si suave, se rapprochant parfois des sonorités de Banhart, Herman Düne ou mieux encore, de Neil Young (et tout ça très juste... si, si !).
Aucun morceau de ses précédents albums, pas à ce que je sache en tout cas; mais cette session se voulait plus ou moins expérimentale ou improvisée, comme c'était stipulé sur la brochure. Nous aurons tout le même droit à une reprise de Marc Bolan période Tyrannosaurus Rex fort plaisante.
Sinon, c'était un cocon folk qui enveloppait les tympans, des arpèges mélancoliques et fragiles, tout simplement beau.
Un moment rare et profondément mélodique qui me confirma les ressentis éprouvés à l'écoute de Flux: Yann Encre fait partie des musiciens français qui font vibrer la musique et la font avancer de nos jours.
Exceptionnel ! ! 19/20 | par Nimaro |
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