Sólstafir
Ótta |
Label :
Season Of Mist |
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A une autre époque, Sólstafir jouait du black-métal. Mais cette période est belle et bien révolue, la musique du groupe ayant évolué vers un métal atmosphérique jouant à fond la carte du dépaysement. Et comme tout bon groupe islandais qui se respecte, les ambiances sont le point fort du disque.
Dès les premières notes de "Lágnætti", la magie opère et nous transporte irrémédiablement vers les paysage fantastique de l'Islande, et faisant flotter autour de nous les légendes du Nord. Survient ensuite le morceau éponyme, véritable tour de force de l'album de près de dix minutes qui sonne comme une invitation vers un voyage aux confins des temps. Les morceaux s'enchainent, entre pistes plus courte et rentre-dedans ("Rismál", "Miðdegi") et longues plages atmosphériques propice à la rêverie ("Miðaftann", "Náttmál").
Il se dégage vraiment quelque chose d'étrange et de fascinant à l'écoute de ce disque, tout est source de dépaysement, que ce soit la musique, le chant en islandais qui accentue encore la perte de repères, les titres des chansons sonnant comme des lieux, des héros lointains et mythiques où bien encore la magnifique pochette présentant une photographie de Ragnar Axelsson, photographe qui sublime les paysage et la vie en Islande. Tout est cohérent, il n'y a aucune fausse note dans ce Ótta enchanteur. Un très grand disque.
Dès les premières notes de "Lágnætti", la magie opère et nous transporte irrémédiablement vers les paysage fantastique de l'Islande, et faisant flotter autour de nous les légendes du Nord. Survient ensuite le morceau éponyme, véritable tour de force de l'album de près de dix minutes qui sonne comme une invitation vers un voyage aux confins des temps. Les morceaux s'enchainent, entre pistes plus courte et rentre-dedans ("Rismál", "Miðdegi") et longues plages atmosphériques propice à la rêverie ("Miðaftann", "Náttmál").
Il se dégage vraiment quelque chose d'étrange et de fascinant à l'écoute de ce disque, tout est source de dépaysement, que ce soit la musique, le chant en islandais qui accentue encore la perte de repères, les titres des chansons sonnant comme des lieux, des héros lointains et mythiques où bien encore la magnifique pochette présentant une photographie de Ragnar Axelsson, photographe qui sublime les paysage et la vie en Islande. Tout est cohérent, il n'y a aucune fausse note dans ce Ótta enchanteur. Un très grand disque.
Excellent ! 18/20 | par El rodeo |
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