The Cavedogs
Joy Rides For Shut-Ins |
Label :
Enigma |
||||
1989 putain d'année !!
Puta's Fever de la mano, Technique de New Order (le seul à retenir du groupe), Veuillez Rendre l'âme du Noir Desir (le seul à retenir du groupe), Yellow Moon des Neville Brothers, Pretty Hate Machine de NIN, Naked City de John Zorn, l'épatant Matrice de l'épatant Manset, L'eau Rouge des jeunes dieux. Ca donnait de partout dans tous les styles. Putain d'année !!
Au milieu de tout ça tout le monde à raté Joy Rides For Shut-ins des Cavedogs. Groupe que même les spécialistes en grand oublié de l'oubli ont oublié. Rapide retour sur les faits: une carrière express avec deux albums et quelques singles puis une séparation rapide. Ca aide pas à se faire connaître.
Alors ça donne quoi les Cavedogs ? Ca donne de la power pop les petits gars. De la power pop tout ce qu'il y a de plus classique mais avec des mélodies si sautillantes, si énergiques et si efficaces qu'elle en devient résistible. Seul petite ombre au tableau, un manque évident de personnalité dans la musique, nous sommes là dans un univers très balisé. Entre un très punchy "What In The World?" les pop-punk "La La La," ou "Tayter Country", l'incroyable efficacité ne fera jamais oublier le coté poli de l'album. Mais pour peu qu'on se laisse aller, même si c'est pas remboursé par la sécu, ca fait du bien aux canaux auditifs. Mettez ca en soirée, tombez amoureux dessus et vous verrez que vous y reviendrez encore et toujours.
Que sont ils devenus ? Le bassiste Brian Stevens est parti en solo, le batteur Mark Rivers a formé Poundcake et pour finir le guitariste Todd Spahr, est quant à lui allé chez les non moins fameux The Gravy. Ce qui toutes disographies réunies doit faire 5 albums. Des oubliés je vous le dis ma bonne dame. A part ca en 2001 ils se sont reformés pour une série de concerts passés totalement inaperçus.
Puta's Fever de la mano, Technique de New Order (le seul à retenir du groupe), Veuillez Rendre l'âme du Noir Desir (le seul à retenir du groupe), Yellow Moon des Neville Brothers, Pretty Hate Machine de NIN, Naked City de John Zorn, l'épatant Matrice de l'épatant Manset, L'eau Rouge des jeunes dieux. Ca donnait de partout dans tous les styles. Putain d'année !!
Au milieu de tout ça tout le monde à raté Joy Rides For Shut-ins des Cavedogs. Groupe que même les spécialistes en grand oublié de l'oubli ont oublié. Rapide retour sur les faits: une carrière express avec deux albums et quelques singles puis une séparation rapide. Ca aide pas à se faire connaître.
Alors ça donne quoi les Cavedogs ? Ca donne de la power pop les petits gars. De la power pop tout ce qu'il y a de plus classique mais avec des mélodies si sautillantes, si énergiques et si efficaces qu'elle en devient résistible. Seul petite ombre au tableau, un manque évident de personnalité dans la musique, nous sommes là dans un univers très balisé. Entre un très punchy "What In The World?" les pop-punk "La La La," ou "Tayter Country", l'incroyable efficacité ne fera jamais oublier le coté poli de l'album. Mais pour peu qu'on se laisse aller, même si c'est pas remboursé par la sécu, ca fait du bien aux canaux auditifs. Mettez ca en soirée, tombez amoureux dessus et vous verrez que vous y reviendrez encore et toujours.
Que sont ils devenus ? Le bassiste Brian Stevens est parti en solo, le batteur Mark Rivers a formé Poundcake et pour finir le guitariste Todd Spahr, est quant à lui allé chez les non moins fameux The Gravy. Ce qui toutes disographies réunies doit faire 5 albums. Des oubliés je vous le dis ma bonne dame. A part ca en 2001 ils se sont reformés pour une série de concerts passés totalement inaperçus.
Sympa 14/20 | par Mozz |
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