The Iditarod
The River Nektar |
Label :
Bluesanct |
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Toujours emmené par la voix belle et touchante de Carin Wagner, The Iditarod présente ici son quatrième album, qui est en réalité la réédition de leur tout premier opus (devenu introuvable), agrémenté de quelques neuf titres supplémentaires.
En produisant un folk expérimental presque psychédélique et complètement dépouillé, The Iditarod s'est engagé dans une voie originale et passionnante. Délicatesses et enchantements sont donc au programme de cet album dans lequel il est agréable de plonger.
On trouve ici vingt-deux morceaux qui sont chacun des ballades acoustiques folk tantôt déstructurées, tantôt totalement envoûtantes; voire évidemment, les deux à la fois. Grâce à son chant à la His Name Is Alive, Carin Wagner permet aux titres composés de prendre une nouvelle envergure. De son côté Jeffrey Alexander propose à chaque morceau, une base apparaissant fragile par moment voire même presque chancelante. Ceci à pour effet d'apporter à l'ensemble un aspect intense et chargé d'émotions.
Il est donc facile de tomber sous le charme du duo pour peu que l'on se sente un minimum touché par leur musique intimiste et terriblement enchanteresse. "Bavaria", véritable exemple de fragilité exacerbée, se révèle vite comme étant un titre profond et bien plus fort qu'il n'y paraît, d'autant plus que Carin magnifie une nouvelle fois le tout de sa voix splendide. Il n'est donc pas un morceau qui ne constitue pas une excellente ballade associant beauté et intensité ("Gold Berry White", "Boat", "Providence"...). Histoire d'enfoncer le clou, Wagner et Alexander reprennent la très belle "The Lullaby Of Spring" de Donovan, et parviennent à se l'approprier de fort belle manière.
Intimiste et superbe, The River Nektar sera le dernier album (ou la dernière prodution) du groupe (puisqu'il d'agit d'une réédition) qui se séparera quelques mois plus tard. Dommage... Vraiment dommage...
En produisant un folk expérimental presque psychédélique et complètement dépouillé, The Iditarod s'est engagé dans une voie originale et passionnante. Délicatesses et enchantements sont donc au programme de cet album dans lequel il est agréable de plonger.
On trouve ici vingt-deux morceaux qui sont chacun des ballades acoustiques folk tantôt déstructurées, tantôt totalement envoûtantes; voire évidemment, les deux à la fois. Grâce à son chant à la His Name Is Alive, Carin Wagner permet aux titres composés de prendre une nouvelle envergure. De son côté Jeffrey Alexander propose à chaque morceau, une base apparaissant fragile par moment voire même presque chancelante. Ceci à pour effet d'apporter à l'ensemble un aspect intense et chargé d'émotions.
Il est donc facile de tomber sous le charme du duo pour peu que l'on se sente un minimum touché par leur musique intimiste et terriblement enchanteresse. "Bavaria", véritable exemple de fragilité exacerbée, se révèle vite comme étant un titre profond et bien plus fort qu'il n'y paraît, d'autant plus que Carin magnifie une nouvelle fois le tout de sa voix splendide. Il n'est donc pas un morceau qui ne constitue pas une excellente ballade associant beauté et intensité ("Gold Berry White", "Boat", "Providence"...). Histoire d'enfoncer le clou, Wagner et Alexander reprennent la très belle "The Lullaby Of Spring" de Donovan, et parviennent à se l'approprier de fort belle manière.
Intimiste et superbe, The River Nektar sera le dernier album (ou la dernière prodution) du groupe (puisqu'il d'agit d'une réédition) qui se séparera quelques mois plus tard. Dommage... Vraiment dommage...
Très bon 16/20 | par X_Jpbowersock |
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