Violet Indiana
Russian Doll |
Label :
V2 |
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Il y a des albums que l'on aimerait aimer, avant même de les avoir écoutés tant certains de leurs auteurs peuvent avoir (eu) une importance primordiale à vos yeux. Ainsi, Russian Doll entre les mains, je ne demandais qu'à tomber sous le charme de la pop de Violet Indiana alias Robin Guthrie (ex-Cocteau Twins) et la ravissante Siobhan De Maré (ex-Mono).
Et bien, force est de constater qu'après plusieurs écoutes, le résultat est bien loin de mes attentes.
En dix titres, Violet Indiana nous dévoile une musique sans relief, quelque peu aseptisée et par conséquent, lassante. Si Robin Guthrie démontre encore un talent certain de composition, la production qu'il réalise sur ce deuxième opus présente un album relativement plat qui semble bien incapable de dévoiler diverses suprises une fois les quatres premiers titres écoutés.
Ceci dit, tout n'est pas mauvais pour autant. "New Girl" se révèle rapidement être l'un des meilleurs titres; la voix suave et sensuelle de Siobhan De Mare se fait ici envoûtante tandis que Robin Guthrie montre son talent de guitariste alternant passages calmes et mélodiques avec des passages plus fougueux. Paradoxalement, c'est un peu ce qui manque à Russian Doll: une fougue incontrôlée permettant à l'album de briller. Ici, on passe vite de l'enchantement ("New Girl", "Beyond The Furr" ou le très trip-hop "Quelque Jour") à la mièvrerie la plus fade ("The Visit", "Innocent" ou "Touch Me").
Bref, Russian Doll est un album qui pêche par son manque d'inattendus et de séduction. Mi-figue, mi-raisin, cet album risque de ne pas laisser de souvenirs impérissables malgré quelques bonnes compositions ("Close The World", "New Girl" ou "Beyond The Furr"). On ne peut s'empêcher d'être déçu...
Et bien, force est de constater qu'après plusieurs écoutes, le résultat est bien loin de mes attentes.
En dix titres, Violet Indiana nous dévoile une musique sans relief, quelque peu aseptisée et par conséquent, lassante. Si Robin Guthrie démontre encore un talent certain de composition, la production qu'il réalise sur ce deuxième opus présente un album relativement plat qui semble bien incapable de dévoiler diverses suprises une fois les quatres premiers titres écoutés.
Ceci dit, tout n'est pas mauvais pour autant. "New Girl" se révèle rapidement être l'un des meilleurs titres; la voix suave et sensuelle de Siobhan De Mare se fait ici envoûtante tandis que Robin Guthrie montre son talent de guitariste alternant passages calmes et mélodiques avec des passages plus fougueux. Paradoxalement, c'est un peu ce qui manque à Russian Doll: une fougue incontrôlée permettant à l'album de briller. Ici, on passe vite de l'enchantement ("New Girl", "Beyond The Furr" ou le très trip-hop "Quelque Jour") à la mièvrerie la plus fade ("The Visit", "Innocent" ou "Touch Me").
Bref, Russian Doll est un album qui pêche par son manque d'inattendus et de séduction. Mi-figue, mi-raisin, cet album risque de ne pas laisser de souvenirs impérissables malgré quelques bonnes compositions ("Close The World", "New Girl" ou "Beyond The Furr"). On ne peut s'empêcher d'être déçu...
Moyen 10/20 | par X_Jpbowersock |
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